L’objectif de ces questions est d’évaluer si tous les informations essentielles ont été retenues. Ce questionnaire est donc à consulter de préférence à la fin de la formation, après avoir visionné l’ensemble des vidéos.
Vrai/faux sur l’apport scientifique
- Les chiffres 0 et 1 s’appellent des bits.
- Le message à transmettre et le message reçu sont toujours identiques.
- Les codes correcteurs sont utilisés dans les K7, CD et DVD.
- Il n’y a jamais d’erreurs pendant les transferts de données d’un ordinateur à l’autre.
- On peut détecter tous les cas où des erreurs se sont produites lors de la transmission d’un message binaire.
- On peut corriger toutes les erreurs à la réception d’un message binaire.
- Les bits de contrôle permettent de détecter toutes les erreurs d’une transmission.
- Les bits de contrôle modifient la signification du message à transmettre.
- Le rendement d’un code correcteur est défini par le rapport du nombre de bits d’information sur le nombre de bits total.
- Avec un code de double parité, on arrive à détecter s’il y a eu 2 erreurs et à les corriger.
- Avec un code de double parité, on corrige forcément un bit qui a été modifié.
- Avec un code de double parité, on peut ne pas détecter d’erreurs dans certains cas où il y en avait.
- Avec un code de double parité, on peut détecter des erreurs dans certains cas où il n’y en avait pas.
- Dans un code correcteur, le nombre de bits à modifier en corrigeant est minimal.
- Les erreurs arrivent très fréquemment au cours des transmissions.
- La probabilité d’avoir une seule erreur lors d’une transmission est très supérieure à la probabilité d’en avoir deux.
- Le rendement du code de double parité utilisé dans l’activité est de 0,69 soit 25/36.
- La redondance du code de double parité utilisé dans l’activité est de 10.
Réponses
- Vrai. C’est la contraction de binary digits, c’est-à-dire chiffres binaires.
- Faux. Il y a un traitement du message reçu afin de repérer et corriger les erreurs éventuelles (dans la plupart des cas, car certaines erreurs ne sont pas détectées ou mal corrigées).
- Faux. Pas pour les K7 car l’information est stockée sous forme analogique et les codes correcteurs ne fonctionnent que sur des informations numériques, comme celles stockées sur les CD et DVD.
- Faux. En effet, s’il n’y avait jamais d’erreurs lors des transferts de données alors tout le système de détection et de correction de ces erreurs décrit ici serait inutile ! Plus sérieusement, lors d’un transfert de données, des perturbations d’origines très diverses peuvent survenir (rayure sur un CD/DVD/Blue-ray, perturbation électromagnétique, poussière…) qui vont induire des erreurs dans le message transmis.
- Faux. On a vu qu’un système capable de détecter toutes les erreurs ne pouvait pas exister. Un mot de code peut s’être transformé en un autre mot de code différent et il n’y a alors aucun moyen de savoir qu’on n’a pas la bonne information (donc la détection des erreurs n’est pas parfaite).
- Faux. On a vu qu’un système capable de corriger toutes les erreurs ne pouvait pas exister. La correction d’une erreur se fait de façon à minimiser le nombre de bits à changer, afin de corriger l’erreur la plus probable (on cherche à retrouver le mot de code le plus proche). Il est donc possible que la correction apportée soit erronée (revoir l’exemple sur le code par répétition).
- Faux. Les bits de contrôle ne détectent pas toutes les erreurs possibles.
- Faux. Les bits de contrôle ne servent qu’à consolider l’information pour s’assurer que le récepteur ait la bonne information, ils ne modifient pas le sens du message : c’est la redondance.
- Vrai.
- Faux. On détecte qu’il y a eu des erreurs mais on ne peut pas les corriger avec sûreté.
- Faux. On a vu dans l’exemple comportant 3 erreurs qu’on pouvait « corriger » un bit qui n’a pas été modifié.
- Vrai. Avec 4 erreurs placées en rectangle, on ne détecte pas d’erreur avec ce code correcteur.
- Faux. Les messages reçus sans erreur ne présentent pas d’anomalie (ce sont des mots de code), il n’y a pas de “faux positifs”. C’est le cas pour n’importe quel code détecteur et correcteur d’erreurs.
- Vrai. Les codes correcteurs sont conçus de façon à minimiser le nombre de bits à modifier.
- Faux. La probabilité d’avoir une erreur est très faible et d’ailleurs, cela vaut mieux pour nos communications !
- Vrai.
- Vrai. Le rendement du code double parité correspond au rapport du nombre de bits d’information (les 25 bits du bloc à transmettre) sur le nombre de bits total (les 25 bits d’informations + les 11 bits de contrôle).
- Faux. La redondance du code de double parité est de 11. En effet, la redondance est égale au nombre de bits de contrôle : n = m + r donc r = n – m soit ici r = 36 – 25 = 11.
Vrai/faux sur la partie pédagogique
- Il faut avoir le brevet des collèges pour comprendre le tour de magie.
- Il faut ajouter uniquement une ligne sur le carré 5x5 de base pour repérer les erreurs lors du tour de magie.
- Pour préparer le tour de magie, on force la parité du nombre de 1 sur chaque ligne et sur chaque colonne avant de laisser un élève modifier un bit (retourner une carte).
- Pour retrouver le bit modifié (la carte) on contrôle la parité du nombre de 1 sur chaque ligne uniquement.
- On peut savoir si un enfant ne retourne aucune carte au tableau.
Réponses
- Faux bien sûr ! Il suffit de connaître des concepts très simples : différencier lignes et colonnes dans un tableau et distinguer un nombre pair d’un nombre impair.
- Faux. Il faut ajouter une ligne ET une colonne pour pouvoir faire la détection de l’erreur.
- Vrai.
- Faux. Il faut contrôler la parité du nombre de 1 sur chaque ligne et sur chaque colonne, faute de quoi on ne peut pas complètement localiser l’erreur.
- Vrai. On n’aperçoit que l’élève n’a pas respecté la consigne car on ne détecte aucune erreur !
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